Carrément débordé professionnellement en ce moment, je n’ai pas le temps d’écrire toutes les idées qui me passent par la tête.
Un post ultra-rapide pour me rappeler à notre faillabilité. Je continue à courir torse-nu, convaincu que cela contribue à stimuler mon système immunitaire. Mardi sortie d’une heure 20, vent, petite bruine. Pas de sensation de froid mais hier je me retrouve avec le bon gros rhume dont je suis coutumier, nez comme une fontaine (chez un client …) juste avant que je me mette à pérorer sur l’efficacité de ma méthode :-). Ca peut être la sortie, ou autre chose, ou le fait stupide de continuer à fumer, ce qui ne doit pas vraiment arranger mes bronches, ou le stress du travail – en fait je n’en sais rien et dans une vie personnelle il est difficile de faire un test en double aveugle !
Du coup cette nuit en entendant la pluie tomber je me demandais si j’allais avoir le courage de sortir, et si ça allait empirer mon rhume ou pas … J’ai craqué, je ne suis pas sorti et j’ai fait de l’elliptique dans mon garage. Ayant une grosse échéance professionnelle aujourd’hui, je ne me suis pas senti kamikaze…
Mon pote Greg avec qui je dois faire NY dans quelques semaines a une fracture de fatigue, deux mois d’arrêt. Sans doute un accroissement de la charge d’entrainement trop rapide … alors que tout allait bien il y a 15 jours.
Comme dirait Art de Vany, il n’y a pas d’échec, juste du feed-back. Mais bon,c ‘est toujours tentant de penser qu’on a trouvé un truc génial, qu’on est super bon, et puis hop, la réalité, toujours bien plus complexe que l’idée qu’on s’en fait, nous fait redescendre sur terre …
Ceci dit, je continue à écouter des trucs passionnant sur le « low-carb » et le paléo… et à sécher, je suis aux alentours de 67 kilos et je devrais pouvoir descendre à 65 pour le marathon (contre 72 l’an dernier …); Vive les oeufs durs, une valeur sure 🙂
Yes ! Tu perds du poids et je comprends ta satisfaction car on doit se sentir plus léger lors des sorties longues. Mais il faut veiller à ne pas « se fragiliser » en perdant trop vite. Dans ton post tu mentionnes sans lien direct la perte de poids -semble-t-il rapide – et le fait de choper un rhume… et peut être as tu découvert un lien de causalité ou en tout cas un des facteurs explicatif de ton coup de froid?
Concernant le fonds de ton article ; j’ajouterai que le grain de sable qui enraye la mécanique peut avoir des conséquences dont on mesure mal l’ampleur. Notre « illusion de contrôle » peut être mise à mal du jour au lendemain. Donc oui, demeurons conscient de notre incapacité à tout anticiper, tout contrôler : beaucoup de choses nous échappent. Et quand tout va bien profitons / jouissons de l’instant présent ! Carpe Diem, car demain est un autre jour. Je parle en connaissance de cause 🙂
Hum … baisse des défenses immunitaires à cause de la perte de poids ? peut-être. Je penche plutôt pour le stress au travail, important en ce moment, et mon incapacité à arrêter de fumer, ce qui doit globalement ne pas arranger mes bronches. et tout simplement le fait que j’ai trois développeurs qui ont la crève dans le bureau à côté du mien depuis une semaine …