La course, un sport solitaire ?

Température anormalement douce ce matin.

Premier groupe de 3 coureurs que je vais pouvoir suivre pendant 15 minutes, avec le désormais classique « euh je peux vous demander pourquoi vous courez torse-nu ? »

Rencontre avec Pierre, avec qui je vais pouvoir papoter quelques dizaines de minutes … avant de croiser Marie, ma nouvelle copine de course. Marie a une foulée courte et rapide, ce qui me convient très bien.  J’abandonne Pierre à son LMVM … Nous papotons de trucs  de coureurs

Au fait, je viens de comprendre que 180 foulées par minutes ça faisait 3 foulées par secondes. On peut donc facilement s’étalonner (si j’ose dire) en comptant en triolets 1,2,3 … 1,2,3 … pas tout à fait évident en comptant par ailleurs en 2 et 3 pour l’inspiration et l’expiration : c’est de la polyrythmie pédestre !

Après une belle accélération dans une côte, qui mérite quelques minutes de récup (je rappelle que Marie a plus de 70 ans … et c’est moi qui ai besoin de récupérer !)  nous repartons chacun de notre côté.  Je croise FJ sur le chemin du retour.

Et dans le parc de Saint Cloud, plein de promeneurs, de cyclistes, même un groupe qui fait de la PPG, des joueurs de foot.

Que du bonheur … même si Nadal vient de perdre l’Open d’Australie.

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2 commentaires pour La course, un sport solitaire ?

  1. Serge dit :

    Le seul sport en solitaire c’est la natation…
    Ne dit-on pas qu’il s’agit d’un sport d’autiste?
    Nadal a perdu les Internationaux d’Australie? Malgré tout cela signifie que la condition physique et le jeu de sape ont des limites….

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