L’haltérophilie : une médecine de poids !

Je tombe sur cet article superbe de 2011 que je n’ai pas le temps de traduire, mais pour les lecteurs anglophones qui ont passé le demi-siècle, il vaut le temps de sa lecture. Et pour mes potes qui se demandent pourquoi j’ai troqué les runnings pour le cross-fit, pareil 🙂

« Instead of slowly dwindling into an atrophic puddle of sick fat, our death can be like a failed last rep at the end of a final set of heavy squats. We can remain strong and vital well into our last years, before succumbing rapidly to whatever kills us. Strong to the end. »

Je traduits quand même : « Au lieu de nous recroqueviller lentement dans une flaque de graisse maladive, nous pouvons mourir comme nous échouerions à la dernière répétition d’une série de squats bien lourds. Rester forts et pleins de vitalité dans les dernières années de notre vie, avant de succomber rapidement à ce qui nous tuera. Forts jusqu’à la fin. »

Pas mal comme programme non ?

https://startingstrength.com/article/barbell_training_is_big_medicine

kXYFN+JHRWm6Mlzpgzgdiw

 

Cet article a été publié dans Non classé. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s